Une première campagne de prélèvements concernant l'ensemble des charpentes a été réalisé fin 2007. Une seconde en novembre 2010 sur la nef (pendant la restauration de la charpente et de la couverture sous la dir. de P. Ponsot, ACMH) a complété les premiers résultats et ont été confrontés aux observations de l'étude archéologique (Frédéric Epaud (Citères, UMR 6173, Univ. Tours).
Il s'agit de l'une des premières structures contreventées avec des liernes et de grandes croix de Saint-André disposées longitudinalement dans l'axe des fermes.
En parallèle avec une étude d'archéologie du bâti (INRAP), les pignons à pan-de-bois à croix de Saint-André, ainsi que la charpente et les plafonds d'une petite maison (17 rue Planchat), dont la façade sur rue a été modifiée au XVIIIe siècle, ont été datés.
Les panneaux à pan-de-bois présentent deux types de croix à lices, aux différentes dimensions.