Eglise à pan-de-bois comprenant à l'origine un choeur et une nef portant le clocher. La nef est rapidement prolongée vers l'ouest pour créer un porche qui sera refermé au XVIIIe siècle pour aggrandir la nef.
Charpente à fermes sur poteaux et à pannes. C'est la seule de ce concept de tout le programme d'études.
Charpente du vaisseau central avec indices de démontage (marques désordonnées, greffes de chevrons...) une dizaine d'années seulement après la construction (cause inconnue).
Eléments de voûte ancienne (torchis sur palsans) partiellement conservés au-dessus de la voûte de planches en place.
Fresque peinte.
Charpentes du choeur et du transept depuis la dernière restauration.
Charpente de la nef masquée par un plafond avec médaillon peint.
Système de marquage complexe indiquant un chantier bien organisé qui se déroule en deux phases séparées de dix ans (indices de fermeture temporaire de la croisée). Tuile gravée (1476) conservée au musée.
Plus ancienne église à pan-de-bois du programme d'études.
Choeur et abside à 6 pans en pans-de-bois et nef en craie. L'abside a conservé un lambris peint.
Beffroi XVIIIe.
Charpentes à chevrons porteurs du choeur et de la nef un peu différentes des églises à pans-de-bois du programme d'études, avec des chevrons assemblés en pied aux blochets (et non à l'arrière). Un coyau prolonge le chevron pour créer une avancée de toiture.
Fermes principales à entraits supportant sablières et blochets.
Marquage symbolique.
Bas-côté ouverts sur la nef. Façade à grille en bas et à coix de Saint-André dans la partie supérieure.
Château constitué d'un logis Renaissance et de deux tours contrôlant l'accès au logis par une passerelle.
Charpente de la nef à chevrons-formant-fermes et à l'origine lambrissée, construite en plusieurs phases de la fin du XVe au XVIe siècle, avec des indices de repentir, notamment un départ de voûte d'ogive conservé à la limite entre le choeur et la nef.
Charpente à fermes et à pannes du choeur au-dessus d'une voûte.
Château maniériste de plan pentagonal avec escalier central
Communs et porche restaurés couverts par une charpente d'assemblage (Philibert de l'Orme).
Publication : Maulnes. Archéologie d'un château de la Renaissance, sous la direction de Monique Chatenet et Fabrice Henrion, 2004
Datation des plafonds à la française et de la charpente du donjon XIIIe, restauré vers 1500.
Particularité : salle avec cheminée à décor peint.
Charpente à fermes et à pannes du choeur et de la nef, dont les fermes sont de deux types :
- à entrait retroussé relevé par un poinçon court. l'entrait principal non relevé a fléchi.
- à entrait retroussé moisé (en deux éléments)