Programme de datations et d'études archéologiques : plafonds, charpentes, linteau, cheminée, planchers pour le logis ouest, la sacristie, la chapelle, l'escalier d'honneur, les logis sud-ouest et nord, les communs est, les tours sud et est.
Collaboration avec le SDA du Maine-et-Loire.
Datation de la charpente du choeur et de la croisée du transept.
Assemblage à embrèvement entre le chevron et la jambette, sans tenon et mortaise, par simple chevillage.
Datation de la charpente, de plafonds et de cloisons à pan-de-bois d'un édifice en projet partiel ou total de démolition.
La façade sur rue n'était pas accessible au moment de l'intervention.
Charpente du choeur de la fin du XIIIe avec comme caractéristique un assemblage des jambettes par simple chevillage sous les chevrons.
Modification probable au XVIIe, comme dans le style de la charpente de la nef : les entraits retroussés sont coupés et assemblés à une lierne centrale.
Engin de levage (fauconneau) du XIVe siècle posé dans les lucarnes du beffroi (remplacé) de l'église Notre-Dame. Il est composé d'un mat étayé par quatre jambes de force, dont l'une était munie à l'origine de barreaux pour accéder en hauteur aux poulies.
Ce type de matériel est très rarement conservé.
L'étude porte sur les charpentes de la chapelle Saint-Quirin et de la sacristie (sous appentis, refait au XIXe) de l'abbatiale. celle-ci a pour particularité d'être organisé autour d'une nef octogonale avec son déambulatoire (de même forme).
Cette tour carrée médiévale (XVe) est la propriété de l'église réformée de Besançon. Elle repose sur une cave voûtée.
En amont des travaux de restauration et de consolidation, les plafonds et la charpente de 14 mètres de haut sous une toiture à quatre pans ont fait l'objet d'une analyse, tout comme les planches à claire-voies de l'escalier en pierre trois-quarts hors-oeuvre.
Charpentes du XVe siècle de la nef et du choeur, dont les éléments de renforts ajoutés secondairement (poteaux et croix transversales entre les entraits et les faux-entraits) ont été déposés lors de la dernière restauration.
Datation de la charpente de l'abbatiale, connue pour ses chapiteaux historiés de style roman, du beffroi (XVIIIe) d'une misécorde et d'un pressoir ayant proprement appartenu à l'abbaye.
Des éléments à engoulents de la seconde moitié du XVIe siècle sont remployés dans la charpente fortement remaniée aux XVIIIe et XIXe siècles.
Datation de la charpente de la nef et du porche de l'église.
Datation d'une ensemble de hangars du dernier quart du XIXe siècle, avec une maison en pierres conservée, du XVe siècle.